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LE SYNDROME DE KISS
Ce syndrome est un blocage cranio-cervical entraînant des tensions en permanence dans le corps qui peuvent se traduire par des perturbations de la symétrie et des difficultés d’ordre nerveux et/ou digestif :
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Aspect en « C » ou en « virgule »
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Hyper extension de l’ensemble de la colonne vertébrale
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Asymétrie du bassin
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Asymétrie du visage et du crane
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Difficultés à téter, pleurs, nuits difficiles, régurgitations, allergies, bave excessive, difficultés à se détendre, épisodes de fièvre inexpliquée, etc...
LES ENFANTS NON DIAGNOSTIQUES ET NON TRAITES :
Ils vont poursuivre leur développement autour de cette dysfonction et avec l’acquisition de la marche, l’aspect asymétrique caractéristique des enfants va se compenser mais ils peuvent présenter d’autres difficultés de développement et d’acquisition :
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Troubles de la posture,
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Retard et/ou poussées dentaires difficile,
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Retard du maintient de la position assise,
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Retard et/ou difficulté de l’apprentissage du 4 pattes,
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Retard et/ou difficulté de l’apprentissage de la marche,
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Retard et/ou difficulté de l’apprentissage du langage,
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Trouble de la motricité fine,
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Dyspraxie,
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Dysléxie,
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Troubles de la sociabilisation,
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Développement de scolioses,
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Céphalées et/ou migraines,
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Mal être chronique et non expliqué
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Formé auprès du Dr Gérard LARCHER (médecin et ostéopathe) et de Gérard LONGUET (Ostéopathe D.O.) pionniers du syndrome de KISS en France
Ce syndrome a été découvert par un chirurgien et chiropracteur Allemand, le Dr Biedermann, qui lui a donné le nom de KISS (Kopfgelenk-Induzierte Symmetrie-Störung), que l’on peut traduire par : troubles de symétrie induits par des vertèbres cervicales.
Très peu connu en France et souvent confondu avec le torticolis congénital, le bassin congénital asymétrique ou encore la plagiocéphalie par les professionnels de santé.
C'est la mauvaise connaissance de son diagnostic qui rend sa prise en charge aléatoire. Une enquête épidémiologique réalisée auprès de professionnels de santé français (médecins, sages-femmes, kinésithérapeutes et ostéopathes), nous révèle que ce cas n’est pas orphelin. Il concernerait d'ailleurs 5 à 8 % de la population (selon le Dr Biedermann et ses confrères).